Interactivité, créativité, autonomie, nouvelles méthodes pédagogiques, formation dissociée… Le numérique transforme l’enseignement et place les élèves au cœur de leurs apprentissages. Faisons le point.

Intégration du numérique à l’école : un défi à relever !

Fini le temps où seuls rétroprojecteurs et autres feuilles de papiers servaient de supports. Le savoir descendant et unilatéral est en train de laisser place à une nouvelle forme de pédagogie, plus interactive.

L’école se transforme. La digitalisation devient un véritable enjeu pour les établissements, qui doivent en tirer parti pour offrir un enseignement plus efficient.

D’autant plus que, dans un environnement qui se veut de plus en plus digitalisé, maîtriser le numérique et ses usages est indispensable. Le système scolaire a le rôle d’insuffler cette « culture digitale » pour préparer les élèves au monde de demain.

À la clé ? Un enseignement « augmenté » et des parties prenantes impliquées

Le numérique apporte de nouvelles manières de travailler et des bénéfices tout aussi divers et variés…

Créativité : Demander à des élèves de produire un reportage, un film, un clip ou encore une émission qu’ils animeraient (et donc prépareraient) eux-mêmes…Quoi de mieux pour favoriser la mémorisation et la créativité ? Les outils digitaux élargissent le champ des possibles et révèlent même des capacités inexploitées !

Autonomie : L’environnement numérique améliore naturellement l’implication des élèves. En ayant les ressources à portée de clic, les élèves peuvent par exemple préparer leurs cours à la maison de manière autonome. Ainsi, la classe devient un lieu d’approfondissement et d’échange : c’est le principe de la classe inversée.

Personnalisation de l’enseignement : la diversité des ressources accessibles via les applications et outils digitaux (logiciels d’animation scientifiques, d’apprentissage des langues, banques de données…) permettent de s’adapter au niveau de chaque élève avec des formations différenciées et des groupes de niveau.

Collaboration : Bien qu’étant un outil individuel, la tablette est un très bon outil de communication et de collaboration. Les élèves peuvent partager des documents, s’entraider pour un devoir ou encore s’envoyer les cours notamment quand une personne est absente. Le travail en équipe est également facilité.

Tous gagnants

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L’IRCEM est un groupe de Protection sociale des emplois de la famille et des Services à la Personne, composé de 3 entités : une institution de Retraite, une institution de Prévoyance et une mutuelle qui assurent au total la protection sociale d’1,5 millions de salariés et de 3,5 millions de particuliers employeurs.

Pour mieux servir ses clients, l’IRCEM souhaitait s’équiper d’une solution mobile. Cette démarche est d’autant plus importante que de nombreux collaborateurs sont souvent en déplacement et d’autres ont recours au télétravail partiel.

Découvrez comment BNP Paribas Leasing Solutions accompagne ses clients vers la transformation digitale dans le témoignage vidéo de Jean-Charles Grollemund, Directeur général de l’IRCEM.

« Notre objectif : servir aux mieux ceux qui nous font confiance, les accompagner dans leur quotidien. Et pour leur offrir le meilleur service, nous avons besoin des meilleurs solutions et outils » explique Jean-Charles Grollemund, Directeur général de l’IRCEM. « On voulait moderniser notre parc d’ordinateurs portables, mais on n’avait pas envie de nous perdre dans des points techniques. Pas besoin de savoir comment, pourquoi, etc. On voulait juste que ça marche ».

« On s’est donc tourné vers BNP Paribas, notre banque historique, qui, via BNP Paribas Rental Solutions, propose des solutions de location avec services clé en main.

On s’est demandé quel était le meilleur produit. Et il s’est avéré que c’était Surface Pro qui répondait à l’ensemble de nos besoins ».

L’IRCEM a donc bénéficié d’un panel complet de solutions : une centaine de Surface Pro ; un accompagnement pour leur déploiement et leur maintenance par Coriolis, partenaire de BNP Paribas Rental Solutions ; et une solution de financement adéquate (LeasePark Mobile), qui permet de proposer les Surface as a Service, et non à l’achat.

« Le premier intérêt est d’ordre comptable : cela permet un meilleur lissage des coûts, qui sont étalés sur 2 ans, pas concentrés sur un seul achat » explique Jean-Charles Grollemund. « Autre intérêt, plus “technique” : on n’a pas à se poser de questions, pas à se préoccuper de l’équipement. On bénéficie d’une offre et d’un suivi complets : maintenance, hotline, gestion du parc, remplacement éventuel, et super réactivité. On ne se préoccupe plus du matériel, et on peut se concentrer sur l’évolution de notre SI et la modernisation de nos services ».

Sans compter un confort de travail accru, à l’image de Caroline Bee, assistante de direction qui, comme une majorité de salariés de l’IRCEM, travaille à distance, depuis son domicile, 1 à 2 journées par semaine : « pour le bureau comme le télétravail, Surface Pro est idéal. J’apprécie sa légèreté, son autonomie, sa rapidité d’exécution, son allumage rapide et le fait que les programmes tournent bien dessus. C’est assez révolutionnaire, même par rapport à un PC classique ! ».

Frédéric Belfadel, responsable des formations, est lui séduit par la modularité de Surface Pro, notamment lors des cessions qu’il anime : « pouvoir projeter des documents, se servir du clavier ou uniquement de l’écran tactile, ça permet des formations plus vivantes, et de s’adapter à chaque individu ».

« Modularité, tranquillité, sérénité », résume Jean-Charles Grollemund. « Ce choix nous permet de travailler mieux, de prendre des bonnes décisions, et de nous concentrer sur notre cœur de métier : le service aux assurés ».